À 40 ans, les femmes devront automatiquement voir leur médecin et faire une consultation pour un problème de cancer du sein. Si tout est OK, puisque les enfants sont grands et que l’on ne pense plus en avoir à nouveau, on peut commencer à se faire du bien en commençant par l’augmentation des mammaires.
Se faire augmenter les mammaires
Il y a des femmes qui ont des seins volumineux naturellement, c’est une gêne, et d’autres où on ne voit augmenter que lorsqu’elle est enceinte et une fois qu’elle a arrêté l’allaitement, les seins dégonflent et la poitrine devient très plate. Il y a des femmes qui assument leurs poitrines et arrivent à se faire belles naturellement, d’autres n’acceptent pas son corps et ce sont ces personnes-là qui ont besoin d’intervention chirurgicale. En ce moment, il y a tellement de cliniques esthétiques qui font cette opération pour une augmentation mammaire, mais votre choix va se focaliser sur la popularité de la clinique et les bons points du chirurgien sur les réseaux. Il y a de bons médecins, en l’occurrence à Paris ou à Lyon, vous avez le choix.
Les témoignages après l’intervention
À noter que c’est une intervention qui peut rater, c’est pour cela que la clinique nous fait signer une espèce de contrat avant l’opération. Il y a des femmes qui ont été déçues parce que leur peau ne réagit pas bien à l’opération. Il y en a qui se dit d’avoir mal aux seins, d’autres n’arrivent plus à lever ses bras normalement, d’autres ont du mal à respirer, certains ont même une perte de mémoire, etc. Il y en a par contre qui s’en sortent bien et sont ravis de son nouveau corps et de la transformation qu’elles ont subie. Un mois après l’intervention, il est normal que la peau gonfle et rougisse, mais avec le temps elle va reprendre sa structure et sa couleur. Les cicatrices sont visibles forcément, mais elles peuvent se cacher sous les seins ou sous les aisselles, ou sous les mamelons.
Enfin, si on veut vraiment de l’esthétisme, la chirurgie est le dernier recours parce qu’il ne faut pas que cela devienne une habitude aussi.
